En février le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour « mise en danger d'autrui et tromperie sur une prestation de service entraînant un danger pour la santé de l'homme », visant la RATP après une plainte déposée par l'association Respire en mars 2021. L'association accuse la Régie de « tromperie et blessures involontaires » en raison d'une qualité de l'air dégradée dans les couloirs du métro, connue par les services de la RAPT depuis le début des années 2000, selon l’association, . En juin, l'Agence nationale de sécurité sanitaire) avait observé que l'air était en moyenne trois fois plus chargé en particules fines dans les stations qu'en surface, bien au-delà des seuils fixés par l'OMS.